Notes provenant de Monsieur VANDENVEN de Tilff et communiquées par Madame XHENSEVAL.
Un rapport déposé à l’Administration des Mines (Liège, 27 mars 1848), signale l’exploitation de la mine de BAUSGNEE (BONSGNEE) exploitée par 3 puits (une centaine d’ouvriers). Le minerai était envoyé à SCLESSIN.
S’agirait-il de l’explication concernant les « monticules » signalés par Auguste DROMELET dans l’article sur BONSGNEE.
(voir « Les cahiers de jadis » n2,3,4)
Histoire du château de Neuville (II)
Nous sommes au début du XVIIIe s. : « Siècle des Lumières ».
Pour LIEGE et sa principauté : phase intense de construction et de rénovation, manifestation évidente d’un certain art de vivre.
Pour les châteaux de l’époque, on accordera également de l’importance à l’aménagement de l’environnement. Le château de NEUVILLE en est un bel exemple.
Continuer la lecture de « Histoire du château de Neuville (II) »Neupré sous l’ancien régime
APERCU SUCCINCT DES INSTITUTIONS POLITIQUES, ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES ET SOCIALES DE NEUPRE SOUS L’ANCIEN REGIME.
2ème partie.
Sous l’Ancien Régime, le duché de Limbourg forme avec les pays d’Outremeuse une des XVII provinces dont la concentration s’est accomplie sous Charles-Quint en 1549.
Continuer la lecture de « Neupré sous l’ancien régime »Les arbres de notre commune (IV)
- Les chênes.
A l’époque pré-chrétienne, le culte du chêne était répandu à travers toute l’Europe. Il était tellement ancré dans les moeurs de certains peuples qu’il a, chez eux, longtemps survécu à leur conversion au christianisme. Ces chênes sacrés étaient certainement de très vieux arbres.
A l’époque romaine, les immenses forêts de chênes de Germanie émerveillèrent les armées de César qui y pénétrèrent, mais elles firent aussi naître chez eux une sorte d’inquiétude et même de terreur sacrée, dont Pline et Tacite se sont fait les échos.
La rue du village – NEUVILLE.
D’un petit chemin bucolique qui serpentait entre les maisons de pierres, « encombré » de piétons et bordé de haies vives clôturant les vergers, les années en ont changé le visage en abattant les vieux poiriers, en déracinant les grands sapins aussitôt remplacés par des poteaux « électriques », et l’avènement de l’automobile en a rectifié le trajet qui jadis invitait à la flânerie.
Continuer la lecture de « La rue du village – NEUVILLE. »LA MORT DU GENERAL CASTLE
Dimanche 24 décembre 1944.
Très haut, à plus de 6000 mètres au-dessus de la Hesbaye libérée, à quelques minutes de Brusthem, l’US Air Force, le puissant corps de bombardiers américains, opère sur l’Europe.
Derrière la forteresse de Henry MAC ARTY, 2045 autres quadrimoteurs sont en l’air vers la RHENANIE où, à Saint-Vith, le convoi aérien se scindera en 3 flottes lancées vers leurs objectifs.
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