L’Union Coopérative à Neupré
Les gérant(e)s
Les magasins étaient dirigés par un magasinier-gérant(…)13. Nous avons retrouvé le nom de deux gérantes dans les archives. C’est évidemment bien trop peu. Vos renseignements précis seront précieux !
Nous trouvons trace d’un échange de courrier entre l’UC et la gérante « Mme épse Bertrand » en 1933:
« Citoyenne, Suite à votre honorée n°95 du mois dernier, veuillez noter que nous faisons payer, ce jour, au bureau des contributions de RR, les 122,50 frs d’impôts qui sont réclamés à Mr Collette-Bourgeois. Quant aux 25,85frs que celui-ci vous a versé, veuillez nous les remettre avec vos rentrées de fin de mois en en faisant créditer le compte des impositions (magasin 217). »14
La somme remise par l’ancienne propriétaire à la gérante concernait sa quote-part dans le paiement de la taxe communale pour l’entretien de la voirie, taxe qui s’élevait au total à 122,50 frs pour l’année 193215.
La deuxième gérante mentionnée dans une note interne à l’UC est Mme Dupuis. Le numéro de téléphone du magasin était le 71 44 56. La date est malheureusement illisible. Il est probable que ce soit entre 1951 et 1982.
Dès 1933, les droits et devoirs des magasiniers-gérants sont bien définis dans un PETIT MANUEL PRATIQUE à l’usage des membres des comités locaux de l’Union coopérative:
« Art 7 : En cas d’absence autorisée ou en cas de maladie du gérant, celui-ci doit désigner un membre de sa famille pour le remplacer ;
Art 10 : Le gérant ne peut vendre que des marchandises lui remises par la société suivant le tarif arrêté par celle-ci et au moyen des poids et mesures qu’elle met à la disposition du personnel.
Art 14 : le gérant doit remettre à la société la recette intégrale du magasin… Les versements sont inscrits sur le livre de caisse du gérant ; il lui sera délivré quittance.
Art 18 : le gérant est responsable des dégradations faites aux immeubles occupés par la société ; il devra en soigner l’entretien et la conservation comme s’il était personnellement titulaire du bail ; en un mot jouir du bien en bon père de famille… Le gérant est responsable de la détérioration des murs par le sel et de la contamination de puits voisins par le pétrole.
Art 20 Le loyer est supporté par la société; les frais de nettoyage sont à charge du gérant. Les locaux doivent être constamment en parfait état de propreté; le nettoyage général et principal devra toujours se faire avant les heures d’ouverture ou après les heures de fermeture de l’établissement.
Art 27 : Le gérant reçoit une indemnité de 150 frs pour un débit annuel de 150 000 frs et 2 pour mille du chiffre d’affaire pour les magasins réalisant un débit annuel de 150 000 frs et plus.16
Art 30 : Tous les membres du personnel nécessaires au fonctionnement des magasins sont rétribués par la société.
Art 31 : Le gérant s’oblige, à ne pas établir dans un rayon de 5km, pendant l’exercice de ses fonctions ou dans le cours de l’année qui suivra la cessation de ses fonctions ou dans le cours de l’année qui suivra la cessation éventuelle de ses fonctions avec la société, ni lui, ni un membre de sa famille habitant avec lui les locaux de la société, soit pour son compte, soit pour le compte de tiers, un commerce analogue à celui de la société. »17
Il est vraisemblable qu’il ait fallu établir cette déontologie en raison de manquements constatés. Certaines clauses prêtent pourtant à sourire.
En 1937, le président du comité local, Jean Maréchal, adresse le 26 juillet une demande aux membres du collège échevinal:
« À l’occasion de l’inauguration de notre nouveau local de l’Union Coopérative, nous sollicitons l’autorisation de faire une petite sortie à travers le village dont l’itinéraire suivant : départ village – bout de Rotheux – Bonry – Bellaire – point de départ pour le dimanche 22 août. ». L’accord est donné le lendemain.
On y apprend incidemment que le local a plus que vraisemblablement été remis à neuf, 13 ans après son acquisition par l’UCO. Aucune archive de cette période n’est disponible à l’IHOES de Seraing. Heureusement, que E. David a entrepris de lire les archives communales…
Être coopérateur, c’est agir, s’investir, investir.
Fin décembre 1955, la fédération des guildes de coopératrices de l’UC comptait 8.955 membres, dont 26 dans la section de Rotheux18. La seule présence de ce magasin dans le village amène les coopérateurs à se structurer activement : le comité local de l’UC créé dans les années 1920 d’une part et la guilde des coopératrices d’autre part. Nous ignorons les noms des membres du comité local. Toutefois, « [l]e nombre de membres du comité local ne peut être inférieur à 7 ni supérieur à 25. » 19
À la même date, la moyenne d’achats annuels pour la section de Rotheux (donc le magasin 217) s’élevait à 10.398 francs pour l’ensemble des coopérateurs.
La moyenne des achats annuels pour les «guildeuses» de la section de Rotheux s’élevait à 16.812 francs. La moyenne pour les «non-guildeuses» était de 6.748 francs.
Chaque guildeuse verse en moyenne un capital de 386 frs, tandis qu’une non-guildeuse verse 278 frs20.
Le magasin est mentionné dans les comptes-rendus du comité directeur de l’année 1958 comme déficient dans l’animation de la gérance vis-à-vis de la clientèle. L’inspecteur en charge du magasin doit remédier à la situation.
Fin de l’année 1965, le magasin de Rotheux-Rimière compte 117 coopérateurs actifs, càd qui y font des achats. En moyenne, durant les années 62 à 64, douze d’entre eux participent à l’assemblée locale des coopérateurs. En 1965, suite à une réorganisation de ces assemblées par l’UC, 62 coopérateurs sont présents ! Ils représentent 53% des coopérateurs21, alors que la moyenne pour les assemblées locales des ( ?) 60 magasins répertoriés tourne autour de 17%.
Une réparation à la toiture est encore budgétée en 1968 pour un montant de 2000 frs de l’époque.
Les années 1970
Le chiffre d’affaires (ca) du magasin stagne en francs constants. Cela veut dire qu’en tenant compte de l’inflation, qui est galopante en ces temps-là, il régresse méchamment. Cela est un signe qui ne trompe pas sur la situation réelle de l’Union coopérative au tournant des années 70. Par exemple, en 1968, seuls les ca de dix magasins sont en progression dans la circonscription Liège-Sud ; 151 sur presque 400 pour tous les magasins de l’UC.
Le dépouillement systématique des archives de l’UC mises à notre disposition par l’Institut d’Histoire Ouvrière, Economique et Sociale (IHOES) et ses deux bibliothécaires permet d’établir le graphique illustration 3.
On y voit (ligne continue noire) que le chiffre d’affaires en francs courants22tourne autour de 1,4 millions de francs par an de 1967 à 1973. Ne perdons pas de vue qu’il s’agit d’un magasin de village et que la direction estime que ce type de magasin remplit aussi un rôle social vis-à-vis de ses coopérateurs. Depuis 1954, le calcul de la rentabilité acceptable se fait chaque année par rapport, entre autres, au salaire payé à la gérante.
Par contre, en indexant le chiffre d’affaires à partir des données historiques de l’index des prix se trouvant sur STATBEL23 et en suivant les judicieux conseils de notre trésorier, nous constatons (ligne à tirets) que le chiffre d’affaires a baissé. Le magasin de Rotheux vend en 1973 environ un quart de marchandises en moins qu’en 1967.
Les comptes sur les mêmes années qui rassemblent tous les magasins ordinaires donnent le graphique illustration 4.
En 1973, le chiffre d’affaires indexé (ligne à tirets) de l’ensemble des magasins ordinaires accuse une perte de 43,6% par rapport à 1967.
Le magasin de Rotheux avec une perte de 28,7% tient donc un peu mieux la route comparé aux autres magasins ordinaires de l’union coopérative.
J’ai enfin rassemblé les comptes annuels de l’ensemble de l’UC pour obtenir la courbe suivante:
Pour toutes les activités de l’UC, la lutte contre les effets de l’inflation est presque réussie; l’écart sur la ligne pointillée entre le chiffre d’affaires indexé de 1973 et celui de 1967 se monte à -4,2%. La ligne noire montre comme dans les deux autres graphiques le ca en francs courants (de l’année) sans tenir compte de l’inflation. Il est faussement rassurant quand il s’exprime ainsi dans les comptes annuels de la société coopérative.
Les dirigeants avaient bien compris qu’il fallait rénover les magasins, se lancer dans le libre-service pour lutter à armes égales contre la grande distribution et s’adapter à la société de consommation qui s’était mise en place.
Les magasins ruraux comme le nôtre n’étaient pas en libre service. Le client/la cliente y attendait son tour pour demander ses marchandises. Maintenant, nous avons l’impression que cela va plus vite dans un libre-service, mais l’attente aux caisses est parfois fort longue, n’est-ce pas…
De nombreux magasins ordinaires, les plus anciens, les moins dynamiques, sont fermés à tour de bras si les résultats ne sont pas bons. Le 217 tiendra bon jusqu’à la fin de la société coopérative. Malgré son côté vétuste, il rapporte encore de l’argent.
En 1974, quatre coopératives wallonnes appartenant à Febecoop sont reprises par l’UC, qui prend alors le nom de COOP-SUD. Ce sera en quelque sorte l’étape de trop. Cela devient financièrement intenable.
1979 – COOP-SUD hypothèque tous ses bâtiments
Le 13 décembre 1979, l’immeuble de Rotheux est gagé auprès de la Prévoyance Sociale sous le n° 18, PH 32494/124, comme tous les bâtiments dont COOP-SUD est propriétaire. Des liquidités sont nécessaires. Peine perdue.
Trois ans plus tard, une lettre du 18/02/1982 à M. Robert Collignon, Président de la Région wallonne, éclaire quelque peu l’état d’esprit de l’équipe dirigeante de l’UC :
« Nous n’avons pas pu digérer l’impact sur notre trésorerie du « sauvetage » des quatre autres coopératives wallonnes [en 1974]. Et cette opération, nous l’avons faite pour ne pas ternir l’image du socialisme en Wallonie.
Les difficultés ont commencé à devenir insurmontable[s] mi-81, moment où la coopérative de Malines a demandé le concordat judiciaire avec abandon d’actifs. La majorité de nos fournisseurs sont devenus intransigeants et ont exigé le paiement comptant ».
La lettre continue:
« D’où la demande d’aide à la RW [en 1981 et [le] plan de restructuration drastique qui en découle et qui prévoit, entre autres, la réalisation de notre patrimoine immobilier, particulièrement celui non affecté aux activités qui devraient continuer à subsister».25
1982 – La vente de l’immeuble : derniers soubresauts pétitionnaires
Quand le comité local apprend, fin 1981, la vente (et donc craint la fermeture) du magasin de Rotheux, son président, M. Fernand Lafontaine, grande figure locale et ancien échevin des travaux de Rotheux, rédige une pétition qui fleure bon le socialisme offensif d’autrefois, avec un certain décalage par rapport à la réalité:
« Prolétaires de tous pays unissez vous.
Chers Coopérateurs, Chers clients,
Vous savez sans doute que les magasins coopératifs ont été créés par des personnalités de toutes tendances et cela parce qu’elles étaient écoeurées de voir la population ouvrière misérable et exploitée.
Déjà fin du 19ième siècle, des groupes s’étaient formés pour après la première guerre mondiale fusionn[er] et créer à Liège : l’Union Coopérative Ouvrière.
Aujourd’hui où la droite reprend du poil de la bête, les responsables des coopératives ouvrières abandonnent et ferment leurs magasins permettant ainsi de nouveau à voir la population laborieuse plongée dans la misère,
Nous devons mettre tout en oeuvre, employer tous les moyens pour garder notre magasin, le seul qui nous reste à Rotheux, pour nous approvisionner en alimentation générale, c’est pourquoi je vous invite à signer la pétition déposée en magasin à cet effet. (s) Lafontaine Fernand annoté 31059 [reçu par COOP-SUD le] 15/01/1982. »
La pétition agrafée à la lettre a été signée par 117 clients du magasin de Rotheux; une quarantaine ne sont pas identifiables.26 Le texte émane plus que probablement de Fernand Lafontaine : même rhétorique…:
« Nous, coopérateurs et clients du magasin coopératif de Rotheux, 217, sollicitons du Conseil d’administration qu’il revoi[e] sa position relative à la fermeture de notre magasin.
Il est le seul magasin en alimentation générale de (NEUPRE) ROTHEUX, voir[e] même de Plainevaux et de Neuville. Il permet aux vieux qui ne possèdent pas de véhicules pour se déplacer, de se rendre au magasin par leurs propres moyens.
Nous devons plus que jamais garder nos institutions et barrer la route à nos exploiteurs, en foi de cela, nous espérons qu’une suite favorable sera donnée à notre revendication. ».
Ce document date du 12/12/1981.
À l’initiative de son président et avec le soutien de la section locale du PS, le comité local se réunit le vendredi 15 janvier 1982.27 L’assemblée prône la location de l’immeuble plutôt que la vente. Ce combat est évidemment perdu d’avance puisque toutes les décisions de vente avaient déjà été prises par le conseil d’administration de COOP-SUD.
COOP-SUD a également reçu du comité central du PS Neupré une motion écrite de la main du Président de séance28, signée des 32 membres présents lors d’une réunion le 14 janvier29. L’argumentaire en 5 points généralise le propos et étend l’objet de la motion au magasin 219 de Plainevaux:
« Motion concernant les coopératives socialistes sises à Neupré »
Le PS NEUPRÉ demande au conseil d’administration de COOP-SUD de bien vouloir considérer les points suivants en faveur du maintien d’au moins un magasin COOP sur le territoire du NEUPRÉ.
- Ils constituent pratiquement les derniers magasins d’alimentation générale de la Commune.
2.Les personnes qui sont pensionnées, ont parfois des difficultés à se déplacer et apprécient beaucoup le magasin proche de chez elles. Pour Plainevaux et Rotheux, leur nombre est environ 370.
3.De très nombreuses ménagères n’ont aucun moyen de locomotion pour faire leurs achats et dépendent de la voiture familiale pour les emplettes. Un magasin au village leur est donc indispensable.
4.En tant que socialistes, il nous semble important de garder vivante la COOPÉRATION au sein des villages ruraux où le rythme de vie est différent de celui des grandes villes.
5.Pour autant que l’approvisionnement soit régulier, nous nous engageons à recommander à nos membres de faire leurs achats aux COOPÉRATIVES SOCIALISTES. »
En date du 01/02/1982, COOP-SUD écrit à Fernand Lafontaine. Il a rendu visite à l’administrateur général le 27/01/1982 avec deux autres membres du comité local, dont la prochaine propriétaire. Il reçoit copie du rapport d’expertise de l’architecte.30
Le 9 février, la promesse de vente est signée. Un reçu et le compromis de vente31 en attestent.
Le 11, COOP-SUD annonce à la Prévoyance sociale la promesse de vente de l’immeuble rue du village 23. L’UC demande à la PS d’établir l’acte de mainlevée de l’inscription grevant ce bien. Ce même courrier de demande de mainlevée est envoyé à CODEP à la même date.
C’est aller un peu vite en besogne : la vente n’aura lieu que 9 mois et demi plus tard, le 24 novembre 1982 à 11h30. Plusieurs courriers des notaires de COOP-SUD à celui des acheteurs, laissés sans réponse, attestent de l’impatience grandissante des vendeurs.
Le magasin sous enseigne COOP est définitivement fermé le 16 février 1982. L’inventaire est effectué le mercredi 17 et les signataires de la promesse de vente ouvriront leur magasin après seulement six jours de fermeture, le 22/2/82.32 Cette affaire-ci est rondement menée.
En 2002, une photo prise par Edouard David montre le bâtiment pratiquement sous le même angle que celle du début du siècle.
L’immeuble est repris sous le numéro 18 de la liste générale des gages soumise à la Prévoyance Sociale en 1979.33 L’argent de la vente sera « ventilé […] en remboursement anticipé PH 1.426.500 et remboursement sur principal convention moratoire 158.500 frs.34
Triste fin pour une idée qui n’a pourtant rien perdu de sa pertinence.
Illus. 6 Le magasin Supra. Source Edouard David, date au verso: 18 02 2002
Plusieurs personnes ont géré ce magasin après l’UC : d’abord les propriétaires. Viendront ensuite Patrick et Patricia Levaux-Honsleux, franchisés de cette chaîne de magasins SUPRA dépendant de Spar Lambrechts. Un couple d’origine turque a été le dernier à s’y installer brièvement. L’utilisation actuelle par une centrale de repassage est tout à fait temporaire.
Voilà l’histoire de la COOP de Rotheux, telle que nous avons pu la reconstituer à partir des archives disponibles à l’IHOES. Une nouvelle série commencera dans deux numéros des Cahiers de Jadis sur le magasin COOP de Plainevaux.
Une dernière fois, permettez-nous de faire APPEL – DÉSESPÉRÉ – À VOS TÉMOIGNAGES : votre vécu personnel, des documents en votre possession, des photos peuvent éclairer l’une ou l’autre facette laissée dans l’ombre ? . Prenez donc contact avec Mémoire de Neupré par courriel edouarddavid45@gmail.com ou par téléphone Edouard David 04 371 43 16. Merci !
Jean Mertens
13. 2e édition revue et augmentée, Parti ouvrier belge, Union coopérative, société coopérative ouvrière siège social Liège, Liège, 1931, imprimeur coop typo-litho Liège. Boîte coopération n°2, IHOES.
14. DOCUMENT 41 1933 08 08 Union coopérative à citoyenne épse Bertrand [gérante].
15. DOCUMENT 39 1933 05 15 Avertissement extrait du rôle de la taxe sur le revenu cadastral pour l’entretien de la voirie émanant de la comptabilité communale signé du receveur communal Edg. Massart. Le ccp du receveur communal est à l’époque le N°25452.
16. Ces chiffres ont été revus à la hausse, évidemment. Je n’ai toutefois pas (encore !) trouvé dans les archives.
17. p. 31 in PETIT MANUEL PRATIQUE, voir note 1. L’art. 31 sera encore appliqué dans les années 70.
18. p. 23 du 25e rapport moral de la fédération des guildes de coopératrices, section de la ligue nationale des coopératrices belges; 1955; 32p. Boîte coopération n°4.
19. in Parti Ouvrier Belge, Union coopérative, société coopérative ouvrière, Liège, statuts et règlements organiques des oeuvres de solidarité. 1918, imprimerie coopérative 6 place verte L Thonon. Boîte coopération n°1, IHOES.
20. Voir note 6.
21.Volume 1965 des comptes-rendus du comité directeur et du conseil d’administration.
22. In Bilan remis aux assemblées locales de chaque année. Ces bilans figurent dans le volume annuel conservé par l’IHOES.
23. http://statbel.fgov.be/fr/statistiques/chiffres/economie/prix_consommation/indices_prix_consommation/
24. [caisse 21, LIASSE CORRESPONDANCE 1982], IHOES.
25. idem
26. DOCUMENT 53, IHOES, farde 217.
27. DOCUMENT 56 15 01 1982 IHOES, farde 217.
28. L’auteur de cet article, en l’occurrence !
29. DOCUMENT 52 1982 01 14 motion du PS NEUPRÉ à COOP-SUD, IHOES, farde 217.
30. [caisse 21, LIASSE CORRESPONDANCE 1982]
31. Documents 59, 60,61, Farde m217, IHOES.
32. Document 58, farde magasin 217, IHOES; Il doit s’agir d’un rapport d’expertise non signé adressé à COOP-SUD.
33. Document 66, farde magasin 217, IHOES
34. DOCUMENT 84, 1982 11 29, note interne de l’administration générale à la comptabilité, farde magasin 217, IHOES1