Les chemins sont manifestement en mauvais état, défoncés par le charroi quotidien des habitants du village et surtout par le passage des étrangers traversant La Neuville, en route vers les seigneuries voisines, vers Liège ou se dirigeant vers la Meuse ou les Ardennes.
Quelqu’un a alors une idée géniale. On instaurera des péages dans les deux sens en fonction de l’importance du véhicule : un sou pour une charrette à un ou deux chevaux, deux sous sur celle de plus de deux chevaux, un liard sur chaque cheval.