Nous avons retrouvé dans les archives de la commune de Plainevaux, divers courriers relatant les évènements survenus à Plainevaux dans les premiers jours du mois d’août 1914.

Histoires et anecdotes de notre région
Nous avons retrouvé dans les archives de la commune de Plainevaux, divers courriers relatant les évènements survenus à Plainevaux dans les premiers jours du mois d’août 1914.
L’histoire commence simplement. Madame DE VILLE (Céline WATHIEU pour les Anciens) qui habite Clermont-sous-Huy a été attirée par l’invitation des « Jardins du Pays de Liège », particulièrement celui de Gaby et Michel HANSENNE à Rotheux, région de son enfance, les 17 et 18 octobre.
Elle s’y rend et admire toutes les plantations de ce jardin de 65 ares. Un autre bonheur lui est offert, elle rencontre des anciennes compagnes de classe et est très émue. Elle rêve d’une réunion plus importante. Comment toucher et décider ses anciens condisciples ?
Année scolaire 1931-1932
Genèse paragraphe 3 verset 16 Bible de Maredsous
Pour ceux et celles qui n’ont plus ce texte en mémoire … ou dans leur bibliothèque, je le rappelle brièvement.
Au 18è siècle, à Strivay une jeune femme, veuve depuis quelques années, est sur le point d’accoucher. Des sages-femmes s’efforcent de lui faire avouer qui est le père de cet enfant, l’accablent de questions sur le « péché de chair » d’où naîtra ce bâtard. Véritable torture psychologique et physique. Comportement inqualifiable. Nous en sommes loin ! … Quoique !
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On ne peut accompagner Albert jusqu’à sa dernière demeure sans évoquer le citoyen Albert et l’homme public qu’il a été et sans évoquer le qualificatif qui est le sien : fidèle.
Fidèle à l’ensemble de ses engagements.
Fidélité d’époux, de père, fidèle jusqu’au bout à ses convictions philosophiques et politiques …convictions qu’il voulait au service de tous et des plus humbles, en particulier.
Fidèle à sa Commune, Rotheux, d’abord, dont il fut le dernier maïeur mais aussi l’employé responsable du ravitaillement durant l’occupation …
L’invitée d’honneur, cette année, du comité Artistes et Artisans pour sa manifestation biennale « L’Art en Ciel », étant L’ENTITE DE NEUPRE, « Mémoire de Neupré » était présent parmi les nombreux 63 exposants qui présentaient leurs œuvres au hall omnisports de Rotheux.
Jacques Defays le 12 janvier 2010
Après une première partie de fouilles sur le site du petit moulin de la Réserve Naturelle du Rognac qui avait permis la mise en évidence de deux gros morceaux de meule, nous sommes retournés à deux reprises sur les lieux.
Fin septembre, P. Eloy, E. David et J. Defays ont retiré de la petite mare deux blocs rocheux. Il est apparu que ces blocs ne pouvaient être les morceaux manquant de la meule découverte antérieurement. En effet, la forme et la nature de ces pierres (grès) ne correspondent pas.
Le « Grand Curtius » ne se raconte pas. Il se visite…
Si un passage par ce méga musée est un must en soi, encore est-il tellement vaste qu’il faut l’aborder par une approche méthodique.
Pour les groupes, l’exposé des guides est remarquable et précis. Quant à la visite individuelle, elle se décline à l’aide d’audioguides qui permettent aux visiteurs d’adapter la découverte à leur propre rythme.
Ce printemps, l’une des ballades mensuelles organisée par l’Administration Communale nous permit de visiter la Réserve Naturelle du Rognac sous la conduite de monsieur Philippe Destinay, le botaniste attaché à la Réserve.
Au voisinage du sentier conduisant à la passerelle qui enjambe le ruisseau de la Neuville, en contrebas de la propriété de monsieur Thys, l’œil attentif d’Edouard David repère deux grosses pierres couvertes de mousse.
Suspectant être à l’emplacement du « petit moulin » figurant sur la carte de Ferraris et sur les anciens plans cadastraux en aval du « grand moulin », avec l’accord du conservateur de la réserve, un trio d’archéologues amateurs (constitué de P. Destinay, E. David et J. Defays,) est retourné inspecter le site fin juillet.
La S.A. d’Ougrée-Marihaye, fusionnée depuis 1955 avec les sociétés anonymes John Cockerill et Ferblatil, avait acquis en 1947 sur le plateau condrusien, un domaine boisé de 360 hectares. Cette propriété fait partie du massif forestier de 3.500 hectares situé au sud-est du bassin industriel liégeois, entre les vallées de la Meuse et de l’Ourthe; elle n’est éloignée de Liège que de seize kilomètres et l’accès en est rendu fort aisé par la « route du Condroz » qui la longe au sud. Une dizaine de kilomètres seulement la séparent du complexe industriel de Seraing-Ougrée.
Le « Domaine » a permis de promouvoir l’accès à la propriété immobilière privée de la classe laborieuse en mettant à sa disposition, dans des conditions particulièrement avantageuses, des habitations modernes et bien conçues dans un site spécialement choisi pour sa salubrité et son agrément, pas trop loin des usines.