L’union coopérative de Rotheux a fermé ses portes.
Actuellement les locaux sont occupés par la pizzeria VULCANO. Mais que s’est-il passé avant.
Jean Mertens nous détaille l’histoire de l’union coopérative de Rotheux-Rimière de 1954 à 1982
Histoires et anecdotes de notre région
L’union coopérative de Rotheux a fermé ses portes.
Actuellement les locaux sont occupés par la pizzeria VULCANO. Mais que s’est-il passé avant.
Jean Mertens nous détaille l’histoire de l’union coopérative de Rotheux-Rimière de 1954 à 1982
Les chemins sont manifestement en mauvais état, défoncés par le charroi quotidien des habitants du village et surtout par le passage des étrangers traversant La Neuville, en route vers les seigneuries voisines, vers Liège ou se dirigeant vers la Meuse ou les Ardennes.
Quelqu’un a alors une idée géniale. On instaurera des péages dans les deux sens en fonction de l’importance du véhicule : un sou pour une charrette à un ou deux chevaux, deux sous sur celle de plus de deux chevaux, un liard sur chaque cheval.
Un Arrêté royal, daté du 15 novembre de l’ année 1852, fixe l’emplacement de barrières à travers notre territoire.
Il faut savoir qu’à l’époque le passage de barrières (sortes de frontières) faisait rentrer de l’argent dans les caisses de l’Etat.
Les taxes sur la circulation et les péages ne sont pas de nouvelles idées.
Dimanche 27 octobre 2024 de 10h00 à 17h00
salle du Coude à Coude
La libération de la Commune de NEUPRE (tous les villages inclus : EHEIN (haut), NEUVILLE-EN-CONDROZ, ROTHEUX et PLAINEVAUX)
Le moulin de Neuville-en-Condroz est situé le long du ruisseau de la Neuville au bout de la rue du Moulin dont il constitue le numéro 20. Avec le terrain qui l’entoure, il est repris au plan de secteur de 1987 en « zone naturelle ».
Le site est occupé depuis au moins le Moyen Age puisqu’il apparaît pour la première fois dans les écrits en 1475. A 150 m en aval de l’actuel moulin, on trouve d’ailleurs les restes d’un moulin du Moyen-âge, site appelé spécifiquement « Petit Moulin »
Ce 6 juin 2024 nous célébrons les 80 ans du débarquement.
Nous sommes particulièrement concernés puisque dans notre cimetière américain reposent de nombreux jeunes soldats venus de loin pour libérer un pays qui n’était pas le leur.
Ghislaine Souris-Rome nous fait part de ses souvenirs de la télévision, des transports, des bandes dessinées, de la maison et de la place des femmes dans la société après la fin de la guerre.
Ghislaine Souris-Rome nous confie ses mémoires d’enseignante à une époque ou pas mal de préjugés concernaient la place de la femme dans notre société. Quel beau métier que l’enseignement. Mais en quoi a t’il changé depuis les années 50?
La mode, dans les années ’50 – ’60 et même depuis 1958 est aux jupes très amples, portées sur un jupon raide qui les maintient épanouies en corolles sur un chemisier ajusté, la taille soulignée par une ceinture haute et contrastée. Les tissus à grandes fleurs colorées sont vifs et gais. On les porte surtout à la campagne, en femme-fleur, avec un petit foulard noué sous le menton « à la Fanchon » assorti à la jupe. Brigitte Bardot en a lancé la mode avec ses robes en Vichy très moulantes au corsage comme jailli d’une jupe presque aussi large que celle des ballerines …