fête des plantes au château d’Englebermont à Rotheux

Histoires et anecdotes de notre région
fête des plantes au château d’Englebermont à Rotheux
Il y a exactement 30 ans, naissait l’asbl Mémoire de Neupré. C’était l’aboutissement de contacts et d’actions menées depuis les années 1980 par des personnes intéressées passionnées par l’histoire locale qui déjà organisaient des manifestations des expositions ou autres activités.
Pour fêter ces 30 ans nous avons organisé une réception et un grand repas dans un cadre patrimonial. Pour vous accueillir nous avons choisi le nouveau restaurant « Tout le monde à table » situé au Château de Neuville (ex-château de Tornaco)
Vendredi 17 mars 2023, vers 18h, les premiers participants empruntent l’allée illuminée de nombreuses bougies qui mène au château.
Une énigme à Neuville-Village ? La croix du Hock et la chapelle de Notre Dame des pauvres se déplacent ! Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?
Ma mémoire se dérobe. Je ne puis donner, cette fois-ci, mes impressions. Mais la curiosité me titille et me reporte bien loin dans le passé. Entre 1950 et 1969, je n’habite presque plus à Neuville : humanités à l’internat, école normale, enseignement à Flémalle où, jeunes mariés, nous habitons, jusqu’au retour dans mon cher village, dans la maison où nous vivons toujours.
Le dimanche 19 octobre 2008, le groupe << Sentiers » s’est donné rendez vous à l’école communale de Rotheux-Rimière, point de départ de l’opération débroussaillage de cette liaison inter-hameaux (Rotheux-Rimière, La Salle, Bonsgnée, Strivay).
Cet intéressant édifice, à deux kilomètres du clocher de Rotheux et à six cents mètres à l’est de la limite de l’ancien duché de Limbourg, a la forme d’un grand quadrilatère: deux des côtés sont occupés par les bâtiments d’exploitation et le logis du fermier; le troisième côté, au sud-est, est fermé par un beau et simple portail, s’appuyant latéralement sur des murailles; le quatrième côté, au nord-est, est constitué par l’habitation du maître.
Ghislaine Rome – Souris
La communion solennelle marque le début de l’adolescence et la fin de l’enfance. C’est aussi à 12 ans que l’on passe dans la « grande école ». Pour cela il faut aller à la ville.
Le temps de transport en 1950 est tellement long que le pensionnat est la solution.
Ghislaine Souris nous raconte ce qu’étaient la fête de la communion et ses études chez les Dames de l’instruction chrétienne pendant 6 ans loin de notre verte campagne.
15 Novembre 2008 Guy Dumoulin.
Le Musée de la Vie Wallonne a été entièrement restauré et transformé durant ces quatre dernières années. Il a rouvert ses portes en septembre 2008.
Nous étions une trentaine à la découverte d’une toute nouvelle conception du musée : une approche très modernisée et très conviviale des « choses de la vie wallonne ».
Quelques témoignages. Edouard David
En 1935, un centre de cure a été ouvert par l’association des <<Mutualités professionnelles» dans le Château de La Rimière. Ce centre semble avoir été essentiellement géré par la section d’Ougrée-Marihaye de ladite mutuelle.
Par l’intermédiaire du journal « Le Messager du Condroz », nous avons fait appel aux lecteurs qui d’une façon ou d’une autre auraient approché cette institution, soit que simplement ils la connaissaient, y avaient travaillé ou y avaient été hébergés.
Le 22 avril 1750, Jean Théodore de Bavière, reprend le mandement publié le 20 mars 1734 par George Louis de Berghes, son prédécesseur, concernant l’attitude à adopter vis-à-vis des étrangers présents sur le territoire de la Principauté de Liège.
Le 5 octobre 2008, avait lieu l’inauguration d’une plaque commémorative sur le monument <<Nicolas Compère» première victime du groupe CT9, en outre premier fusillé de Belgique. Cette cérémonie c’est déroulée au Bois de Stepennes, à Anthisnes.