D’un petit chemin bucolique qui serpentait entre les maisons de pierres, « encombré » de piétons et bordé de haies vives clôturant les vergers, les années en ont changé le visage en abattant les vieux poiriers, en déracinant les grands sapins aussitôt remplacés par des poteaux « électriques », et l’avènement de l’automobile en a rectifié le trajet qui jadis invitait à la flânerie.
Joseph FILEE.